

C’est parti pour le financement participatif de soutien à Coriobona !
Rendez-vous sur le lien suivant pour le découvrir et vous laisser tenter par les contreparties proposées !
https://fr.ulule.com/soutien-a-coriobona-village-gaulois/
Et bien entendu, nous espérons rouvrir au plus vite, une fois les travaux terminés. Affaire à suivre …
Pour fabriquer , il nous faut d’abord des données, puis la matière première, et enfin, un peu de savoir faire pour le faire savoir…! Chêne, Orme, pomméïdés, frêne sont les principales essences recensées pour la fabrication de roues au second age du fer. Peu de différence avec aujourd’hui, si ce n’est le pommoïdé. le moyeu sera la première pièce. Fait en Orme ou en chêne, les anciens disent que le séchage du bois demande 3 jours. Pièce tourné ou façonnée à la main, avec herminette, hachette et scie. On débutera en tournant cette pièce, puis nous en façonnerons une seconde avec les outils manuels.
Si l’on considère que le premier char est apparu chez les Sumériens au 4ème millénaire av JC, en Europe, cette invention se propage au milieu du 3ème av JC. Roues pleines tout d’abord, c’est à la fin de l’âge du bronze que les premières roues à rayons apparaissent. Les Etrusques en sont très certainement à l’origine.
Depuis, cette roue à rayons a évolué en technique, en taille, et en couleur !
Mais comment étaient ces roues à rayons que nos paysans, artisans, commerçants, et guerriers gaulois utilisaient ? Et comment étaient-elles fabriquées ?
C’est à ces questions que nous allons tenter de répondre, à travers les données archéologiques, et notre savoir faire…
Vous pourrez donc suivre nos expérimentations à ce sujet grâce aux prochaines publications.
Chers visiteurs, nous vous informons que les salariés du village Coriobona partent en vacances et seront de retour le 4 février 2020. Tous les mails ou autres demandes seront traités dès leur retour.
Cordialement,